Rossignol, 1901 : Du poivre.
France, 1907 : Poivre, appelé ainsi à cause de ses propriétés stimulantes, aphrodisiaques.
D’attaque et d’aplomb, il était, malgré la cinquantaine voisine, vigoureux et vert-galant et toujours prêt à faire bonne chère aux dames, sans avoir besoin d’avoine de curé.
(Hector France.)